Faith McLoryn
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Date d'inscription : 29/12/2006
 | Sujet: Faith McLoryn  Sam 1 Mar - 2:40 | |
| Nom : Duchamps McLoryn Junior, sauf qu'elle n'aime pas ses deux premiers noms, alors elle ne se présente que sous le deuxième.
Prénom : Lindsay Ellena Louisa Joy Faith, mais n'utilisez que son dernier prénom, par pitié
Âge : 17 ans
Sexe : F
Histoire : Faith est née dans une famille dans laquelle l'argent ne manquait pas ; son père était, et est toujours, un éleveur de grands chevaux espagnols et sa mère était une redoutable femme d’affaire. Durant son enfance, on l'éleva comme une grande dame, elle apprit à jouer du piano et de la harpe dès l'âge de trois ans, à dessiner à l'âge de quatre ans et à cinq ans, son père l'envoya dans un pensionnat pour filles afin qu'elle débute son apprentissage parmi les meilleures. Bien sûr, Faith n’avait pas idée de sa chance et nombre de fois elle voulut quitter le pensionnat pour revenir auprès de ses parents, qui lui manquaient atrocement, car c’est dur d’être séparé de ses géniteurs six jours sur sept à cinq ans. On a encore besoin de sa mère pour être rassurée le soir, on a encore besoin de son père pour le faire voler dans ses bras le week-end dans la cour arrière. Bien malheureusement, on la réprimanda tant qu’elle se lassa et se remit aux études, au grand soulagement des sœurs qui l’élevaient pratiquement. Se trouvant être la première de sa classe durant trois ans, son père, ayant acheté des parts énormes d'une fructifiant industrie pétrolière, décida de la ramener près de lui, s'ennuyant bien trop de sa petite fille chérie. Faith connu alors une existence pire que ce qu’elle pensait. Son père la laissait à la merci de nounous toutes plues effrayantes les unes que les autres et sa mère ne lui consacrait que deux heures par jours, et encore, c’était des jours bien beaux lorsqu’elle avait autant de temps pour sa fille qu’elle qualifiait de «irresponsable» et de «enfant gâtée», mais Faith n’avait jamais demandé à avoir tout cela, et si elle était si vive et houleuse avec eux, c’était parce qu’elle n’aimait pas les voir si peu.
À l'âge de dix ans, sa mère connut une mort tragique dans un accident de voiture avec son père. Ils étaient en route vers une nouvelle écurie où son père allait évaluer le potentiel d’une jument poulinière lusitanienne, son propriétaire leur ayant adressé une lettre de courtoisie demandant s’ils voulaient bien que leur meilleur étalon, Sol Del Libertad II des Cieux, saillisse sa jument. Ils avaient dérapés sur la chaussée trop glissante dans une courbe et s'étaient embourbés dans le garde-fou, ils étaient si près de l’écurie que ce fût un des palefreniers qui découvrit la voiture. La voiture avait fait trois tonneaux avant d'atterrir dans un champ d’avoine, qui servait pour nourrir les chevaux. L'ambulance avait mit trente minutes à arriver, et les policiers quinze à les sortir de l'engin qui menaçait d'exploser à tout moment. Alors qu'ils venaient d'extirper du véhicule de grande classe le mari qui était au volant, inconscient et grièvement blessé au dos et à la tête, le redoutable redouté arriva. L'explosion projeta dans la mort deux policiers, un infirmer et blessa dix des trente survivants, comprenant dedans le père de la pauvre Faith qui était à ce moment là aux écuries de son géniteur, contre la volonté de ce dernier évidemment.
Elle avait commencé à avoir cette subite passion pour ces canassons lors d'un voyage à Paris. Elle l'avait tellement exaspéré pour aller voir la Ville lumière qu'il l'y avait emmené. De là-bas, elle avait vu un escadron de police montée en parade. Les chevaux aux têtes majestueusement racées, leurs encolures finement recourbées et leurs membres relevés qui faisaient du trot un trot au port céleste l’avaient enchanté et c'est là que tout avait commencé à tomber. Elle savait que son père possédait de ces magnifiques bêtes à l’œil vif et aux mouvements si souples, mais elle avait interdiction de pénétrer dans les écuries, son père ne voulant pas qu’elle se salisse avec le crottin, qu’elle empeste l’équidé, non, ce domaine était réservé aux hommes.
Elle rêvait de ces bêtes magnifiques à l'école, son écoute remarquable en subissait le choc, les notes étaient en chute libre. Son goût pour la musique, la lecture et l'écriture s'usurpèrent jusqu'à se laisser submerger par l'obsession du dessin. Encore là, son père n'aurait jamais eu cette dispute avec la mère de la jeune femme ce fameux soir si elle ne dessinait pas que ces stupides chevaux aux ailes trop grandes. Ainsi ce fût-il qu'elle apprit la terrible nouvelle par sa gouvernante qui alla la chercher aux écuries, complètement paniquée.
"Mademoiselle McLoryn, il est arrivé quelque de terrible, venez vite!"
Sur ce discours des plus effrayants, la jeune demoiselle suivit la gouvernante dans sa robe du matin de lin blanc un peu délavée par la poussière du foin, jusqu'à la limousine et se rendit à l'hôpital où son père et la dépouille de sa mère avaient été emmenés. Une fois sur place, elle demanda à voir son paternel, mais on lui refusa l'accès, l'invitant plutôt à venir s'asseoir pour attendre un médecin avec sa gouvernante. Mais la fillette ne voulait rien entendre, elle voulait voir son père! Finalement, on la conduisit jusqu'à lui, il avait des bandages partout, son dos était encadré dans une sorte de corset de plastique.
Durant les deux années qui suivirent l'accident, on ne prononça le nom de la mère de Faith, Mary, qu'une seule fois, et ce fût à ses funérailles. Son père s'était racheté en donnant à sa fille tout ce qu'elle désirait, même s'il savait que la gâter ainsi n'était pas bon pour elle. Il pensait à tort qu'elle lui en voulait, et elle croyait de même que son père la gâtait seulement pour ne pas l'avoir en face car il avait honte, pensant certainement qu'elle avait provoqué la mort de sa femme qu'il aimait tant. Finalement, un jour, le père et la fille s'expliquèrent et à force de patience, le mois suivant, ils étaient redevenus l'équipe qu'ils avaient toujours été avant l'accident, mais le père avec ses jambes en moins. Car en effet, le choc causé par l'impact du garde-fou avait paralysé l'homme à vie. Mais sa fille, elle, avait encore de belles jambes bien mouvantes et il lui offrit son premier cheval, car il avait bien vu que ce qui lui plaisait le plus dans le domaine était les écuries, dans lesquelles elle passait bien trop de temps pour une jeune femme, à l'âge de 14 ans. Un peut tard peut-être pour commencer l'équitation, mais elle était prête à tout. Son premier cheval fût une jument d'âge mûre du nom de Frozen Reading, qui lui concéda sa patience et sa majestueuse carrure pour que Faith la mène une fois de plus au sommet dès qu'elle atteindrait 18 ans, bien qu'elle n'eût jamais le temps de le faire puisqu'elle n'eût 18 ans que la semaine avant de partir pour Freedom Creek, c'était ainsi son cadeau d'anniversaire. Toutefois, après cette première victoire auprès de son père, elle voulut apprendre plus, peaufiner ses techniques, et c'est pour cela qu'elle vint ici, malgré les réticences de son père d'être séparé de sa fille chérie si longtemps, et il lui offrit donc cette place dans une de ces trois merveilleuses académies pour sa fête. Alors elle lui proposa de venir la voir aussi souvent qu'il lui plaisait, et elle ferait de même dès qu'elle aurait le temps.
De son côté John McLoryn promit de prendre soin de Frozen, qui pourrait aussi bien devenir poulinière qu’entraîneure pour ses jeunes élèves. Car à la suite de son accident et de sa réconciliation avec sa fille, John avait prit une grande décision : il allait mettre aux profit de tous ses chevaux si doux et calmes afin que d’autres que sa fille puissent aussi apprendre l’art de l’équitation. Ce fût tout de même à regret qu’il regarda sa petite fille chérie partir vers l’inconnu, vers Freedom Creek, tandis que lui restait au Haras pour s’occuper des élèves et des chevaux qui arriveraient bientôt.
Caractère : Elizabeth est, comme qui dirait, une jeune femme simplement compliquée. En effet, elle se montre souvent sous un jour gai, jovial, amical et chaleureux car elle aime la vie et se sait entouré de gens qui ont vécu pire que ce que son imagination pourtant débordante et encore juvénile pourrait avoir le goût d'imaginer. Bref, sous son sourire qui lui fait de petites fossettes qui la rendent encore plus que charmante, enrôleuse et enjouée, Elizabeth est une femme accomplie, qui ne laisse pas tomber ceux en qui elle place sa confiance, confiance qui est déjà une bonne étape de franchie car si elle peut accorder son estime un tant soit peu plus rapidement que son autre vertue, cette dernière ne se donne qu'une fois, et si on la perds, c'est pour quelques années, voir à jamais, et qui est déterminée à toujours compléter ce qu'elle commence, qu'elle en soit complètement passionnée ou bien simplement éprise, jamais elle ne se résigneras à abandonner, c'est une battante, comme son père, et une redoutable femme fière et courageuse, comme sa mère. De plus, elle a une opinion bien forgée de la vie, se sachant de haut rang, elle ne s'enffle pourtant point la tête avec les sottises de l'infériorité ou de la suprême suprématie de certains, elle méprise tout ceux qui s'en prenne à son statut social pour la dénigrer ou la rejeter, et elle ne se prive pas non plus pour faire savoir ce qu'elle pense, même si elle s'est attirée plus d'une fois les foudres de son père en envoyant ballader certains des plus grands hommes d'affaire avec qui son chère papa a pû traiter pour une question de fierté féminine. Son honneur est la vertue qu'elle convoite le pus, voulant toujours être plus haute d'un cran qu'elle ne le peut, elle se surmène dans tous les domaine qui lui tiennent à coeur et repousse toute négativité sans pour autant se croire supérieure ou dans un monde où la joie règne. Elizabeth est une jeune femme plutôt nerveuse, qui ne tiens en place que lorsqu'elle le veut bien, ou alors lorsqu'elle se sent mal à l'aise. Miss Bennet a beau avoir un rang haut placé, cela ne l'empêche pas d'être une jeune femme qui a ses petits défauts. Plutôt houleuse pour son âge, elle ne se laisse pas influencer, et donne son opinion franchement, peut-être même un peu sciemment, mais cela ne la dérange pas. Quelque fois, elle se montre orgueuilleuse, et ne veut pas toujours avouer ses torts, mais son plus grand défaut reste encore sa profonde tête de mûle qui sait en exaspérer plus d'un. Elle est butée, entêtée, on ne peut même pas dire déterminée, elle est tout simplement innacessible lorsqu'une idée lui trotte dans la tête. Et personne ne pourra la changer, elle le sait.
Physique : Faith est assez grande, elle fait 1m65, mais elle n'aime pas ça, elle dit que ça l'encombre lorsqu'elle veut monter parce que les chevaux sont tous trop petits ou bien alors ce sont les étriers. De longs cheveux bruns cascadent le long de ses joues sous des pomettes plutôt saillantes, rehaussant l'éclat de ses yeux bleus verts avec les reflets roux et châtains qui s'y miroitent selon la saison et l'éclairage. Ils descendent jusque sous ses épaules rondes mais cadrées sur un tronc ferme et élancé qui donne un air de poupée au reste de son corps. Elle a des jambes longues et fines, qu'elle tente de cacher sous ses robes bien que cela ne fonctionne pas vraiment puisqu'elles ont plus souvent tendance à rehausser cette galbe féminine et attirante. La jeune femme a un visage doux et chaleureux, qui sourit presque toujours, faisant ainsi découvrir de belles dents blanches bien entretenues et deux petites fossettes sur le côté de ses lèvres rosées.
Defauts : Plutôt houleuse pour son âge, elle ne se laisse pas influencer, et donne son opinion franchement, peut-être même un peu sciemment, mais cela ne la dérange pas. Quelque fois, elle se montre orgueuilleuse, et ne veut pas toujours avouer ses torts, mais son plus grand défaut reste encore sa profonde tête de mûle qui sait en exaspérer plus d'un. Elle est butée, entêtée, on ne peut même pas dire déterminée, elle est tout simplement innacessible lorsqu'une idée lui trotte dans la tête. Et personne ne pourra la changer, elle le sait.
Qualités : Chaleureuse, elle se montre souvent sous un jour gai, jovial et amical car elle aime la vie et se sait entouré de gens qui ont vécu pire que ce que son imagination pourtant débordante et encore juvénile pourrait avoir le goût d'imaginer.
Comment as-tu connut HC ? J'étais Jack Hudson, mais j'ai changé de pseudo.
Par un membre ? Jack Hudson 
As-tu bien lus le règlement ? Yep!
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